mardi 25 septembre 2007

LE CRITIQUE D'ART JOSEP M. CADENA VISITE LE CENTRE D'ART CONTEMPORAIN PUIGMARTI À BOURG-MADAME, LA FRANCE


La Galerie par Josep M. Cadena
Magazine Exit. nº 44. El Periodico

Un espace surprenant d'art catalan dans la Cerdagne française

Peu d'artistes sont si d'une façon surprenante créateurs comme Puigmartí, pas seulement installé dans ses sommeils mais toujours disposé à les modeler pour les autres. Il a peint de belles filles avec quatre ou six paires de seins, ainsi qu'avec des aubergistes vibrantes, mais aussi maintenant un corps donne les démons qui habitent dans l'enfer de l'esprit.

Né à Monistrol de Calders en 1932, à 12 ans Puigmarti a déjà exposé dans Castellterçol; en 1956 il l'a fait dans la galerie Syra de Montserrat Isern, le bastion de l'art catalan qui convenait maintenir et aussi faire avancer, présenté par Sebastià Gasch, et en 1960 il a redoublé avec un texte de Juan Eduardo Cirlot pour le catalogue; il a résidé en Suède réelle, différente de ce que les suédoises de la Costa Brava suggéraient, en France et aux États-Unis; il a appartenu au cercle des Nord-Américains qui admiraient Salvador Dalí; il a dessiné et il a peint pour des publications importantes de New York et il a joui des beaucoup de plaisirs qui donnent vie, en même temps qui l'enlèvent.

En 1989 il est rentré à Catalogne, s'est installé dans Sitges et deux ans après il s'est senti libre et couvert en même temps dans l'Hôtel Estela d'Aiguadolç – l'hôtel des chambres peintes par Xaus, Subirachs, Moscardó, Grau Garriga, lui même et les autres – où il a consolidé sa vaste capacité imaginative dans le plastique.


Maintenant Puigmartí a, de plus, un espace permanent au centre de Bourg-Madame, á côté de la mairie qui a été La Guingueta d ’ Ix, officiellement rebaptisé à partir de 1815, à la chute de Napoleón, dans un honneur de Marie Teresa Carlota, de duchesse d'Angulema et de fille de Luís XVI. Dans ce que, en principe, c'était un centre de tourisme, on a habilité un espace avec tableaux et les sculptures de Puigmartí, avec ses « aliens » surprenants et les instruments musicaux qui, des orphelins de propre son, maintenant ont une présence esthétique. Et dans l'extérieur, avec le recyclage de grands tubes de plastique, il a monté un monument, qui exhibe en haut les couleurs du drapeau français. Un catalan créateur dans la Cerdagne française.




Link à article de presse originale par Josep M. Cadena

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